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مُساهمةموضوع: II- Interception des malocclusions dans les cas de   II- Interception  des   malocclusions  dans  les  cas  de Icon_minitimeالسبت 1 مارس - 19:40

II- Interception des malocclusions dans les cas de cl II d’angle :
La cl II d’angle est caractérisé par une arcade inférieure en relation distale par rapport à l’arcade supérieure. Par rapport à la normal, toutes les dents inférieures sont en occlusion distale, d’où la largeur d’une demi-cuspide et provoquent une dysharmonie très marquée dans la région incisive. La division 1 se caractérise par plus ou moins d’étroitesse de l’arcade supérieur avec alignement et vestibulo-version des incisives. La division 2 se caractérise par une Linguoversion des incisives supérieures avec supraclusion.
La cl II est donc constitué par les anomalies du sens antéropostérieur, ce décalage sagittal peut être associé à une croissance verticale, moyenne ou horizontale.
La décision de pratiquer un traitement interceptif dépend de différents éléments du diagnostic morphologique et étiologique ; leur étude systématique est une des conditions essentielles de la réussite d’un traitement interceptif.
1/ Facteurs de sélection des cas d’interception :
1-1/Recherche de l’étiologie: comme la plus part des dysmorphoses squelettique, on peut distinguer schématiquement deux types de facteurs étiologique pour les dysmorphoses de cl II :
Ø génétique ou primaire : un décalage des bases squelettiques existe naturellement à la naissance, avec les années, la croissance de la mandibule parcequ’elle est plus intense, corrige spontanément le décalage des bases osseuses. Si un excès de croissance maxillaire ou un défaut de croissance mandibulaire sont génétiquement programmés, le décalage original ne se corrigera pas spontanément et la cl II persistera. Il en est de même quand un obstacle s’interpose entre les arcades et empêche ce rattrapage naturel.
Ø Secondaire :un traitement interceptif peut être indiqué et donc remplir son rôle parfaitement.
DONC, il est capital de distingueravanttoute décision thérapeutique ces deux étiologies. En effet il est tout à fait contre indiqué de tenter une interception dans un cas de cl II génétique vraie, dans ces cas le traitement sera voué à l’échec ou à la récidive, car le potentiel de croissance n’existe pas, la correction du décalage, objectif essentiel de l’interception ne pourra pas se réaliser et se peut que l’on puisse obtenir pendant le port de l’appareil une amélioration des rapport sagittaux, mais la récidive apparaîtra dès sa suppression.
1-2/ Recherche de la direction de la croissance : la direction de croissance fait partie, elle aussi des facteurs décisionnels des traitements interceptif .s’il est évident que la quantité de croissance est le facteur essentiel, la direction générale de la croissance doit être étudiée avec soin. Une croissance en direction horizontale ou antérieure sera beaucoup plus favorable au traitement qu’une croissance en direction vertical.
Les cas e cl II associé à une hyperdivergence squelettique vraie, ne doivent jamais faire l’objet d’un traitement d’interception. Il s’agit d’une contre indication majeure à l’interception des cas de cl II. En revanche ces même cas de Cl II associé à une hypodivergence, sont des cas de choix pour ce type de traitement.
Cependant un cas particulier doit attirer notre attention : les pseudo-hyperdivergents. Ceux-ci ne sont pas des hyperdivergents anatomiques ou morphologiques, mais plutôt des hyperdivergents fonctionnelles, dans ce cas seule la position de la mandibule est affectée. On trouve habituellement ces cas chez les suceurs de doigts. Ces cas ont une réponse très favorable à l’interception.
2/Les traitements interceptifs :
2-1/ les objectifs et principes de ces traitements :
L’interception a pour but la correction du décalage squelettique sagittal par action sur la croissance des mâchoires, que la cl II soit d’origine mandibulaire, d’origine maxillaire ou une association des deux. L’option essentielle du traitement interceptif est l’obtention le plus tôt possible d’une cl I squelettique par effet orthopédique, dans l’espoir d’un résultat fonctionnellement et esthétiquement plus équilibrée. Cette action précoce sur la croissance, accompagnée ou précédé d’un traitement étiologique, permet de profiter du potentiel de croissance non exprimé de ces cas. La correction le plus précocement possible, des perturbations du comportement neuro-musculaire ainsi que l’amélioration de l’environnement architecturale bien avant la fin de la croissance, permettent grâce aux intenses facultés d’adaptation liés à cette période d’augmenter les chances de stabilité de résultat qu’ on peut obtenir.
La correction du décalage sagittal doit être réalisé par freinage de la croissance du maxillaire. Stimulation de la croissance mandibulaire ou les deux associées.
2-2/ les moyens :ils sont essentiellement représentés par les appareils qui ont un effet orthopédique sur les mâchoires :
- les forces extra-orales.
- les activateurs.
- l’association des deux.
II- Interception  des   malocclusions  dans  les  cas  de Clip_image001 Les forces extra-orales: sont particulièrement indiquéspour les traitements interceptifs pour les cas de cl II d’origine maxillaire, présentants les caractéristiques suivantes :
- étiologie secondaire.
- Hypodivergence.
- Pseudohyperdivergence.
- Obliquité en haut et en avant du plan palatin.
Ces forces ont une action de distalage des dents, elles freinent la croissance sagittale du maxillaire, ainsi que sa croissance vertical au niveau postérieur provoquant sa bascule en avant et en bas.
II- Interception  des   malocclusions  dans  les  cas  de Clip_image001 Les activateurs :sont indiqués dans les traitements interceptif des dysmorphoses de cl II présentants les caractéristiques définies précédemment et dont l’origine se situe à la mandibule, ils sont également indiqués dans les cas ou la cl II à une origine à la fois mandibulaire et maxillaire.
Leurs effets biologiques s’inscrivent dans :
- la réduction du décalage squelettique sagittal par freinage de la croissance du maxillaire et une lébération de la croissance de la mandibule ;
- La bascule en avant et en bas du complexe maxillaire ;
- Le contrôle de la direction de croissance dans les cas moyen ;
- L’ouverture de l’angle goniaque ;
- Le mouvement distal de l’arcade dentaire maxillaire ;
- Mouvement mésiale de l’arcade dentaire mandibulaire ;
- Le contrôle de l’éruption vertical des dents ;
II- Interception  des   malocclusions  dans  les  cas  de Clip_image001 Activateurs etforces extra-orales associés : l’adjonction d’une force extra-orales à traction haute avec les branches de l’arc interne noyées dans la résine de l’activateur, renforcera l’action de ce dernier, si une traction plus importante au maxillaire est souhaitée.
L’intérêt d’ajouter une traction extra-orale réside également dans les possibilités de contrôle de l’orientation du plan palatin.
En effet ; en fonction de la longueur et de l’orientation des branches externes, la bascule en avant et en bas du plan palatin quasi systématique avec les activateurs conventionnelle, pourra être évité ; ceci est indiqué dans les cas où la cl II est associée à une supraclusion incisive qui se trouverait aggravée par la bascule non contrôlé du plan palatin
En revanche dans le cas où la cl II est associé à une béance incisive avec une orientation du plan palatin en avant et en haut, la longueur et l’orientation des branches externes devront au contraire provoquer une bascule inverse du plan palatin, facilitant la correction de cette infraclusion.
III- Interception des malocclusions dans les cas de cl III d’angle :
La cl III regroupe toue les cas de rétrognathie maxillaire et les cas de prognathie mandibulaire, aussi bien anatomique que fonctionnel. Dans la plus part des cas les incisives inférieurs sont en vestibuloclusion et sont souvent inclinées lingualement.
L’étude de la mandibule au repos et de son chemin de fermeture, de la position de la RC à celle de l’ICM, permet de poser le diagnostic de proglissement mandibulaire dans lequel, anatomiquement, il n’ y a pas de déformation osseuse. On observe un glissement vers l’avant par contact cuspidien (ou des bords incisives) qui va faire dévier la mandibule dans une position lui évitant tout contact traumatisant.
S’il parait difficile d’intervenir efficacement dans les cl III héréditaire, il possible d’améliorer les cas fonctionnels. Il est donc primordial de faire la différence entre anomalies fonctionnelles et anomalies fixées (héréditaire) pour envisager efficacement une thérapeutique interceptive.
L’interception :
A/ le proglissement mandibulaire :
1/ diagnostic :
L’examen clinique du profil montre un profil concave, avec un menton et une lèvre inférieure déportés en avant. Ces signes diminuent en position de repos.
L’examen du chemin de fermeture montre une rotation de la mandibule, suivi d’un mouvement de translation qui se produit à partir du premier contact.
L’examen des meulages en occlusion met en évidence les incisives en bout à bout ou en articulé inversé et des rapports molaires exagérés (cl III).
L’examen de la téléradiographie de profil et des analyses céphalométriques montre que :
- l’angle de convexité (AC) est diminué ou négatif ;
- en ICM, l’angle facial (AF) est augmenté ;
- en position de repos, les valeurs sont normales.
Le diagnostic étiologique peut présenter plusieurs facteurs car le proglissement est une anomalies fonctionnelles du chemin de fermeture qui peut être due à :
- la chute prématurée d’incisives de lait supérieures ;
- la linguoversion d’incisives supérieures ;
- l’éruption précoce d’incisives inférieures ;
- des contacts prématurés au niveau des canines, molaires de lait ;
- on signale des cas de mimique chez le nourrisson ;
- l’hypertrophie amygdalienne qui oblige l’enfant à proglisser pour dégager le carrefour aéoropharyngé.
Le pronostic est favorable, surtout chez le jeune.
م ح ش الدولة : شنينة متليلي
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